Présentation

Jeudi 12 juin 4 12 /06 /Juin 00:15


Dans la nuit plus que fraîche, deux personnes sans blousons pour les protéger du froid, marchaient rapidement pour rejoindre un point bien précis. En y regardant plus attentivement, on pouvait reconnaître un jeune homme aux cheveux bruns méchés de bleu trainant de force un autre jeune homme aux cheveux blonds. Les deux se criaient dessus sans faire attention à ce que disait l’autre, attirant le regard des quelques rares passants encore présents à cette heure très avancée de la nuit. Quelques minutes plus tôt, Idriss avait tiré son téléphone portable d’une poche de sa seule main de libre. 

Auxence ne comprit rien à la conversation qui ne fut que ponctuée par des phrases très courtes qui n’avaient pas de sens entre elles. Mais une chose est sûre. Au moment de raccrocher, l’emprise sur son poignet s’était faite plus forte, presque au point de lui briser les os. Malgré cela, il continuait à vociférer des injures à Idriss qui lui en rendait tout autant. Chacun avait quelque chose à reprocher à l’autre, ne sachant pas que faire des interrogations qui s’agitaient dans leur esprit.

Idriss continua à trainer son jouet  pendant une demi-heure avant de prendre une rue d’aspect plutôt sordide. Quelques éclats de voix semblables à des rires faisaient échos contre les murs salis par la  pollution et le temps passant. C’étaient cinq hommes et femmes en tenue impeccable de serveurs qui fumaient une cigarette dehors, avant d’entreprendre le ménage pour fermer le restaurant de luxe dans lequel ils travaillaient.  Idriss, tenant toujours Auxence par le poignet, les salua poliment avant de demander si on ne lui avait pas laissé quelque chose.

-          Si, monsieur Guirot a laissé une enveloppe pour vous, au comptoir des maîtres-hôtel, avec ce que vous avez demandé. Vous pouvez prendre l’ascenseur de service, à côté de la blanchisserie, dit une serveuse, recrachant une bouffé de fumée et dévorant des yeux Auxence, qui paraissait bien être à son goût.

-          Merci, répondit Idriss, sec.

Passant entre ces jeunes gens, les deux lycéens entrèrent dans une immense cuisine, où toutes les proportions semblaient être adaptées à des géants. Idriss trouva le contenant de papier à l’endroit désigné et lâcha son amusement préféré pour regarder ce qu’il y avait à l’intérieur. Il se tourna vers Auxence en lui faisant le premier sourire de la soirée et glissa un objet dans une poche avant de son baggy de soirée noir. Puis il se saisit de nouveau du jeune homme par le poignet pour le mener à un vieil ascenseur de service qui sentait le vieux bois et la mécanique d’époque. Un violent soubresaut se fit sentir quand Idriss appuya sur le bouton du quatrième, qui était apparemment aussi le dernier étage de ce lieu inconnu et étranger à Auxence. Celui-ci se demandait dans quoi il était en train de mettre les pieds.

Il avait cherché à avoir un début de réponse auprès de son bourreau, comme il le surnommait au cours de cette soirée, mais le regard meurtrier que lui avait envoyé Idriss avait coupé court à toute discussion civilisée entre eux. S’il y en avait déjà eu une un jour.

Quand l’engin de mort arriva à sa destination, au dernier étage, ils sortirent dans un couloir d’une grande richesse. Les murs étaient blancs et les appliques sur le haut et le bas de ceux-ci étaient dorés ou argenté avec de la vraie matière. Leurs chaussures s’enfonçaient dans une moquette épaisse taupe clair, emmenant un sentiment de chaleur et de confort. Les meubles disposés ça et là, ajoutaient une touche de raffinement dont le couloir manquait.

Mais Idriss n’avait que faire de ces détails inutiles à ses yeux et, continuant à trainer Auxence à sa suite, ils longèrent une succession de portes avant de s’arrêter net devant l’une d’entre elles. Il sortit l’objet qu’il avait mis dans sa poche quelques instants plus tôt. C’était une clé, finement ouvragée avec un numéro dessus, correspondant au même que celui marqué sur la poignée de la porte.

À ce moment-là, Auxence réalisa qu’ils se trouvaient dans un hôtel, de plus de luxe à en juger par la décoration. Il demanda ce qu’ils faisaient ici, pourquoi Idriss l’avait emmené dans ce lieu. Mais il ne poussa pas plus loin sa réflexion, car son jeune maître-chanteur le tirait déjà à l’intérieur.

Ses yeux se promenèrent un court instant sur ce qui semblait être une petite suite des plus luxueuses. La porte claqua et un clic se fit entendre.

Auxence se trouva tiré en arrière, plaqué violemment sur la surface de bois peinte de blanc avec Idriss qui lui bloquait toute tentative, même illusoire, de fuite. Il se rendit compte que la musculature d’Idriss, comparable à la sienne, n’était pas là pour faire belle impression  et que sa force était réelle et douloureuse. Le jeune homme le fixa  d’un regard neutre, semblant hésiter pendant quelques brèves secondes avant d’abattre brusquement ses lèvres sur celles de son jouet.

Auxence, écarquilla les yeux aussi grands que possible, surpris par la tournure étrange que prenaient les événements. Idriss lui mordait la lèvre inférieure  pour le forcer à ouvrir la bouche mais tout ce qu’il reçut fut un coup de tibia entre les jambes car Auxence se débattait  pour échapper à cette étreinte qu’il ne voulait pas. Cette chose ne le faisait pas rire. Le fait qu’Idriss l’embrasse ne le faisait vraiment pas rire.

Idriss s’écarta de lui sous le coup de la douleur des coups que l’autre lui avait donné. Il passa un pouce sur ses lèvres rougies de sang.

-          Ca va pas bien dans ta tête ? cria Auxence.

-          Si. Très bien.

-          Là, ça m’amuse pas du tout.

-          En aucun cas, je ne m’amuse. C’est tout ce qu’il y a de plus sérieux.

Le visage inhabituellement neutre d’Idriss acheva Auxence et lui confirma la pensée comme quoi le jeune homme avait un sérieux problème mental.

      -     Je croyais qu’aux dernières nouvelles, tu en étais à te payer les dernières putes du lycée. Non les mecs.

      -     Tu es plutôt bien informé, répliqua Idriss avec un petit sourire sadique.

Auxence se mordit la langue, rouvrant les légères blessures que lui avait infligées le jeune homme quelques instants auparavant, comme s’il avait dit une phrase qu’il voulait garder pour lui. Sa main droite se posa sur la poignée de la porte qui le maintenait prisonnier d’Idriss et de ses pulsions dont il ne voulait pas faire les frais une fois de plus, et chercha à l’ouvrir mais sans succès. Il se tourna pour essayer de forcer sur la poignée de toutes ses forces pendant quelques minutes avant de regarder de nouveau Idriss et avoir une bouffée de colère. Celui-ci était toujours aussi souriant et agitait au-dessus de sa tête la clé de la suite dans laquelle ils se trouvaient.

Auxence serra ses poings avec force, tellement qu’il se mit à saigner, puis avança vers Idriss afin d’attraper ce maudit objet.  Il avait beau sauter et sauter encore, il n’arrivait pas à la saisir à cause de leurs quelques centimètres de différence.

Quand Auxence arrêta son manège, il remarqua que son visage était trop proche de celui d’Idriss. Il voulut s’en éloigner mais une main ferme et puissante s’était déjà glissée derrière sa nuque pour l’attirer plus à lui afin de pouvoir l’embrasser de nouveau, de la même façon. Ce second baiser ne dura pas : Auxence lui envoya un coup de poing dans la mâchoire de toutes ses forces. Ceci fit lâcher la pauvre clé qui n’avait rien demandé à personne, la projetant sous une commode de style empire. Les yeux du jeune homme avaient suivi ce voyage et il se baissait déjà pour l’attraper, pensant avoir sonné son tortionnaire. Aussitôt qu’il eut posé un genou à terre pour chercher l’objet, une main se saisit de son épaule et le projeta dos contre la moquette. Bien que celle-ci amortisse le choc, une onde de douleur courut le long de son dos. Idriss s’installa à califourchon sur lui au niveau du bassin et se mit à lui frapper le visage. Auxence répondait à chacun de ses coups tant bien que mal. Idriss lui pesait dessus.

Cette bataille de poings dura de très longues minutes,  jusqu’à ce qu’Idriss pose ses mains sur le cou d’Auxence et se mette à le serrer lentement. Les yeux du jeune homme s’exorbitèrent avant de se fermer. Les doigts continuèrent à lui enserrer ce morceau de chair et les lèvres d’Idriss se posèrent à nouveau sur les siennes,  avec plus de douceur. Ce ne furent pas des dents qui réclamèrent l’entrée de sa bouche mais un bout de langue plutôt timide. Sans en prendre vraiment conscience, Auxence lui céda le passage et se mêla à ce baiser exigeant. Une danse à laquelle chacun des deux voulaient avoir le dessus. Ce fut à bout de souffle que ces deux forts caractères se séparèrent. Auxence ne comprit pas pourquoi il avait tout d’un coup laissé faire Idriss. Et il devait concéder à l’animal qu’il savait très bien embrasser et que cette boule d’acier au milieu de la langue ajoutait un petit quelque chose.

-          Tu as cédé…

-          C’est ça. Là, j’ai définitivement la confirmation que tu es gay, dit Auxence, la mesquinerie au bout des lèvres.  C’était à prévoir après le coup du magazine gay.

-          Non pas du tout. Et depuis, tu t’es bien laissé faire pour quelqu’un qui a mis des coups de poings au début.

En disant cela, Idriss passa sa langue  sur ses lèvres, faisant preuve d’une sensualité plutôt insoupçonnée chez lui. Ses yeux se mirent à s’animer d’une lueur perverse, celle qu’il avait quand une nouvelle proie féminine passait sous ses yeux. Sauf qu’à ce moment-là, sa nouvelle proie n’avait rien d’habituel et qu’il la lui fallait absolument. C’était une obsession qui montait de jour en jour  et qu’il avait voulu réprimer une dernière fois, dans une vaine et lamentable tentative de se convaincre du contraire.

La jalousie de voir ces filles tourner autour d’Auxence et l’envie de poser les mains sur ce corps,  l’avait dévoré toute la soirée.

Idriss passa  une main douce sur les cheveux dorés de son jouet avant d’y enfoncer les doigts au moment de l’embrasser encore une fois. Son autre main trouva un passage discret sous la chemise noire d’Auxence pour se perdre sur le flan gauche du jeune homme. Puis ses doigts remontèrent petit à petit pour prendre un petit bout de chair entre ses doigts et le tordre dans tous les sens. 

Cette attention fit réagir Auxence qui bougea dans tout les sens pour se libérer.

-          Tu es à moi, murmura Idriss au creux de son oreille d’une voix qui trahissait son excitation.

Par ailleurs, son jouet pouvait sentir le membre dressé du jeune homme contre son bassin, mais il n’était pas d’accord avec la tournure que prenaient les événements. Il n’était pas excité pour deux sous, ce que remarqua vite Idriss qui lui attrapa les poignets d’une main pour les lui mettre au-dessus de la tête.

Son autre main continuait à parcourir les muscles façonnés par des années de basket.  

-          Dégage de là.

-          Non.

-          S’il te plait.

-          Tu auras ma jalousie sur ton corps de quelque façon que ce soit.

Tout en disant ces deniers mots, Idriss rétracta ses doigts telles des serres, et marqua le torse de ses ongles enfoncés dans la peau, comme pour le marquer de sa colère, de sa fascination et de son envie. Puis il déplaça des doigts pour les poser sur le premier bouton fermé de la chemise noire d’Auxence afin de les défaire avec application et précision, l’expérience parlant pour lui.

Ce fut à ce moment-là qu’Auxence vit son souffle devenir plus brusque, plus profond, plus entrecoupé.  Ses muscles tremblaient, ses organes internes faisaient une danse qui lui donnait l’impression d’être vides.

Alors qu’Idriss léchait les blessures qu’Auxence s’était lui-même infligé, ce dernier sentit une main se glisser sournoisement jusqu’au bouton de métal de son jean qui retenait un bagage qu’Idriss voulait retirer. Le bouton sauta. Quelle ne fut pas sa surprise de sentir une légère bosse sous ce jean blanc quand sa paume se posa dessus, et d’entendre un petit gémissement plaintif. 

Idriss eut un grand sourire, pensant que son jouet  n’était pas aussi insensible qu’il le pensait. Malgré son dégout de toucher quelqu’un d’autre que lui, Idriss se glissa sous le boxer prendre un membre semi-dressé et le caressa comme il aimait faire sur lui-même. Et la réaction ne se fit pas attendre.

Un corps qui se cambre et des bruits retenus seulement par des dents qui mordaient avec rage, des lèvres déjà meurtries par des échanges précédents. Il s’arrêta après l’avoir bien faite gonflée et remit soigneusement le boxer blanc bordé de noir sur celle-ci avant d’embrasser de nouveau Auxence avec une envie folle. Il finit par lui délier les mains pour les passer entre le dos et la moquette, voulant le serrer fort contre lui, mais il n’avait pas prévu qu’Auxence n’attendait que ça pour prendre le dessus sur lui.

Celui-ci le jeta à côté de lui et le chevaucha, les cheveux en bataille, le visage en colère, la chemise ouverte et le pantalon défait, laissant voir une érection impressionnante. Son souffle était court, toujours sous l’effet des soins prodigués par son maître-chanteur aux cheveux ourlés de bleu électrique.

Idriss se demanda un instant ce qu’il allait faire ; il s’attentait à un autre coup de poing. Un parmi tant d’autres. Et sa réponse fut très loin d’être celle qu’il pensait.

Auxence attrapa les bords du fin pull noir du jeune homme et le tee-shirt en dessous, pour les lui retirer de force, quitte à les déchirer s’ils lui résistaient. Ses vêtements furent jetés sur un meuble avant qu’il sente qu’Auxence commençait son feuillage en déboutonnant et retirant son baggy avec peine, à cause des chaussures qu’il portait. Mais ceux-ci ne furent bientôt plus que de l’histoire ancienne, comme les autres.

-          Eh, fit Idriss en se relevant.

Auxence glissa sur ses jambes, quittant le bassin sur lequel il avait élu domicile pour déshabiller le jeune homme. Celui-ci passa une main autoritaire derrière sa nuque afin de l’embrasser violement de nouveau.

-          Tu sembles bien pressé pour quelqu’un que je répugne, lâcha Idriss à bout de souffle.

Sa main retrouva le chemin du boxer et de ce membre qui criait pour qu’on s’occupe de lui. Il le descendit un peu pour se mettre à le masturber brusquement à l’image du désir qui consumait son cerveau à ce moment précis.  Auxence baissa la tête, fermant les yeux et respirant bruyamment sous cette action. Puis, ne voulant pas laisser la draguée haute à son adversaire, il déposa ses mains sur le poitrail musclé, plus qu’il le pensait, descendit jusqu’à un élastique noir, qui fut un bien maigre barrage. Auxence se saisit de la verge tendue de son compagnon, si on pouvait l’appeler comme cela, et fit comme lui.

Après s’être retenu en serrant leurs bouches, les petits cris de plaisir se firent échos jusqu’à un puissant  râle de délivrance qui vit leurs spermes couler sur leurs doigts. Pendant qu’ils reprenaient leurs esprits, encore sous l’effet de ce petit plaisir, Idriss fit descendre lentement sa main, le long de la colonne vertébrale d’Auxence pour la loger entre le jean blanc et le boxer, lui malaxant et pinçant une fesse de la paume de sa main. 

Son excitation refit rapidement surface  sous ce touché plaisant, appréciant les formes fermes et pleines qu’il avait. Soudain, au cœur de sa réflexion, il enleva la chemise de son jouet et le souleva pour l’allongea sur le flanc gauche. Celui-ci se laissa faire telle une poupée de chiffon encore dans les brumes du plaisir. Son pantalon et son boxer le quittèrent doucement, des doigts caressant cette peau libérée du tissu. Une fois ce petit exercice délectable fini, Idriss se déplaça derrière lui, remarquant la présence d’un tatouage en forme de croix celtique, niché sur le rein droit. Il en dessina les contours du bout de sa langue et de ses doigts, avant de le coller à lui, ses bras l’enlaçant et son pénis à la naissance du postérieur de son compagnon.

Il sentit qu’Auxence reprenait ses esprits au moment où il passait une jambe entre les siennes pour les maintenir écrasées. D’une main, il baissa un peu son boxer, prit son appendice en main pour le glisser entre les rails des fesses pour y trouver son anus dans lequel il se glissa avec quelques difficultés. En voulant forcer, il donna un coup de rein sec qui le fit entrer totalement et profondément. Auxence poussa un grand cri guttural, se cambrant en arrière avant de se replier en avant, crispé sous la douleur effroyable que venait de lui faire subir Idriss.

Le jeune homme ne comprit pas cette réaction. Il avait pourtant lu le magazine gay qu’il avait fait prendre à Auxence : il était marqué qu’il devait tout de suite prendre du plaisir ainsi que son compagnon. Une pensée traversa son esprit embrumé par cet étau de chair qui le comprimait, comme quoi il avait du oublier de faire quelque chose comme par exemple de le préparer.

-          Enlève-la, dit Auxence d’une petite voix.

Cette supplique mit un coup au cœur du jeune homme mais il n’avait en aucun cas envie de se retirer. Il voulait Auxence. Il le voulait entièrement, le marquer dans sa chair et son esprit. Il se courba légèrement pour lui souffler sur la nuque, mordiller le lobe de son oreille et rouler contre elle sa boule d’acier, caresser ses cotes et sa poitrine. Mais Auxence ne se calma que très peu.

Idriss tenta de bouger un peu, mais il n’obtenu comme résultat qu’un cri plaintif. Pourtant il continua de petits mouvements, aimant la sensation. Ses mots rassurant filèrent de ses lèvres pour entrer dans l’oreille de son amant, voulant le rassurer et lui jurant qu’il ne voulait pas lui faire de mal.

Pendant dix très longues minutes, ce rituel continua avant qu’une main d’homme mais frêle à cet instant prit place sur son fessier. Bien qu’Auxence semblait toujours souffrir de sa présence, il accepta cet acte sexuel et demanda implicitement à Idriss de faire son affaire. Le jeune homme ne se gêna pas, pouvant enfin libérer ses ardeurs. Le rythme changea passant du lent au rapide et inversement, cherchant un plaisir qu’il savait succulent.

Puis un léger gémissement du plaisir se fit entendre de la part d’Auxence, rejoignant ceux d’Idriss. Celui-ci, proche d’un orgasme dévastateur, décida qu’Auxence devait prendre autant de plaisir que lui et se saisit du pénis dressé pour lui imprimer le même mouvement que ses reins.

Leur libération fut douloureuse mais au combien salvatrice, les laissant vidés et en proie à une respiration erratique.  Idriss se retira et s’allongea dos au sol, savourant son plaisir et la douceur de la moquette. Il resta ainsi un bon quart d’heure, mais regrettant le silence lourd de celui qui était passé de jouet à amant jusqu’à ce qu’il voie Auxence au-dessus de lui.

Les choses étaient loin d’être finies entre eux, quitte à s’en mordre les doigts après.


Voici le chapitre que beaucoup de monde attendait. On espère que vous n'êtes pas déçues. Nos délires ont disparu, car Perri n'est plus chez Joy, mais ils reviendront, tôt ou tard. Après ce court séjour, l'entente n'est que meilleure. Les auteurs s'adorent, au point d'avoir prévu de quoi co-écrire pour les six mois à venir. Bisous à tous (s'il y a qui passent) et à toutes...

Par Perri_et_Joy - Publié dans : Indicibles cruautés [terminée]
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