Un frisson glissa le long de l’échine d’Auxence. Pour la première fois, Idriss lui inspira vraiment de la peur. Ses yeux le transperçaient de part en part, ne lui laissant aucune porte de sortie. Résigné par l’attitude menaçante d’Idriss, le jeune homme se délesta de son blouson qui allait le gêner plus qu’autre chose durant cet échangé sportif forcé.
Idriss eut un large sourire victorieux quand il vit son jouet se mettre en place en position défensive, sur ce terrain de basket goudronné du parc. Il se mit à faire bondir le ballon de basket sous les lumières vacillantes des vieux lampadaires disséminés autour ce lieu sportif et champêtre, autant que cela pouvait l’être en pleine ville. Auxence cligna des yeux comme pour chasser la fatigue et le sommeil, et son adversaire en profita pour le contourner et marquer un panier sans difficulté.
La rage monta en Auxence comme un poison lancinant. Déjà qu’il lui faisait ce coup de pute, maintenant il se permettait de le battre à son sport favori. Le jeune homme secoua la tête fermement pour se réveiller, croisa les doigts de ses mains vers l’extérieur et les fit craquer. Il attendit qu’Idriss reprenne sa place en face de lui pour lui prendre le ballon d’un mouvement habile et amener l’égalité de points entre eux.
Une bonne heure après, Auxence était allongé sur le goudron, transpirant tout ce qu’il pouvait. Il avait lamentablement perdu contre la personne qui lui faisait du chantage depuis plus d’un mois. Encore une fois. La fatigue commençait à faire son retour dans ses muscles, ses yeux. La seule satisfaction qu’il pouvait encore avoir, c’était qu’Idriss avait, lui aussi, le souffle court, assis contre le poteau du panier.
Le jeune homme était satisfait de lui, il avait réussi à faire enrager son jouet préféré et à se dérouiller un peu. Peu de gens savaient qu’il avait fait du basket en équipe lors du collège, mais arrivé au début du lycée, il s’en était complètement dégouté et avait commencé à prendre un virage plus trash. Il eut un petit sourire en pensant à ça, ce qui n’échappa à Auxence qui prit légèrement la mouche.
- Alors, tu es vraiment content de toi ?
- De quoi tu parles ? Demanda Idriss qui ne comprenait pas cette question.
- De ce sourire immonde que tu as sur ta sale gueule.
- Ah… Oui, je suis content.
Le niveau de tolérance d’Auxence était arrivé à son maximum et le vase avait débordé. Il se leva lentement, la fatigue ralentissant ses gestes, et alla prendre son blouson qu’il avait retiré plus tôt, pour rentrer chez lui pour quelques heures de sommeil qu’il avait largement méritées selon lui.
- Eh !!
- Quoi ? Fit Auxence entre se dents, se retournant vivement pour regarder Idriss qui l’avait interpelé. Le ballon de basket à la surface rugueuse oranger était juste à ses pieds.
- Ta copine…
- Oui ?
- Elle te trompe.
- Ça m’étonnerait.
- Oh si. Ils étaient mignons, main dans la main, à s’échanger des paroles douces au creux de l’oreille et de légers baisers dans le cou. C’est ce que j’appelle un joli petit couple.
- Tu mens.
- Oh non. Je les ai vus cet après-midi avec une amie. Ca fait quoi de se faire cocufier ?
- Jamais.
Idriss laissa échapper un petit rire de satisfaction. Décidément, Auxence l’amusait follement, plus qu’il ne l’aurait cru, bien qu’il se serait dispensé de certaines choses qui commençaient à emprisonner son esprit de jour en jour.
- Pauvre petit. On va pleurer, ne put s’échapper de dire le jeune homme.
- Ta gueule.
Tout en criant ces mots, Auxence frappa d’un coup de pied rageur le pauvre ballon qui n’avait rien demandé. Celui-ci s’enfonça dans les profondeurs des buissons bien taillés du parc, avant qu’Auxence parte d’un pas furibond. Les mains dans les poches et le col remonté, il faisait le trajet du retour beaucoup plus rapidement. La colère, la fatigue et l’envie de retourner au fond de son lit guidaient ses pas. Il rentra en faisant le moins de bruit possible, mais cela ne l’empêcha pas de se prendre les pieds dans un tapis et de s’atteler lamentablement sur le sol.
Après avoir pensé un grand nombre de jurons aussi variés les uns que les autres, il se releva tant bien que mal dans le noir et alla dans sa chambre en tâtonnant des mains les murs et autres objets sur son chemin. Quand il passa devant la chambre de père, il vérifia d’un coup d’œil qu’il ne s’était pas réveillé. Ce qui ne semblait pas être le cas car on pouvait l’entendre ronfler. Avec soulagement, il ferma la porte de sa chambre et alluma sa lampe de chevet. Une grimace apparut sur son visage quand il vit l’heure qu’il affichait.
3h10.
Rapidement, il changea ses vêtements contre un pyjama froid et se glissa sous sa couette à étoiles qui avait conservé un léger fantôme de chaleur. Il soupira en éteignant la lumière. Il allait avoir peu d’heures de sommeil. Qui plus est, la petite conversation avec Idriss le travaillait, et avait décidé de chasser le sommeil que réclamait son corps, au profit d’une longue interrogation qui lui mangea deux heures, avant qu’il sombre dans les méandres des rêves. Des rêves aussi bizarres qu’irréalistes.
A la sonnerie, les couloirs du lycée se remplirent de flots d’élèves que déversaient les salles de cours. La plupart d’entre eux se dirigeait vers la cantine pour profiter du premier service, celui qui distribuait de la nourriture presque bonne. Perdu au milieu de tout ce monde, les yeux ensommeillés et les cernes qui les accompagnaient, Auxence se dirigeait tant bien que mal jusqu’à son casier où il déchargea ses cours du matin pour prendre ceux de l’après-midi. Il ressemblait plus à un zombie qu’à un élève normal et il s’était même surpris à faire de légères somnolences durant son cours d’histoire et de mathématiques. Et il devait une fière chandelle à Ephram qui prit les cours mieux que lui, et se chargea de le réveiller à la fin de ceux-ci.
Son meilleur ami lui avait demandé pourquoi il était dans cet état, lui qui, la plupart du temps, était éveillé et en pleine forme. Sans savoir pourquoi, il ne lui dit pas qu’Idriss l’avait appelé au milieu de la nuit pour lui faire subir une de ses lubies. Peut-être pour ne pas entendre une nouvelle leçon de morale dont il n’avait pas besoin.
Quand sa journée prit fin, Auxence eut l’agréable surprise de ne pas voir Idriss réclamer son dû comme chaque semaine. La colère et la rage l’animaient quand il pensait à ce chantage et surtout, il maudissait sa propre stupidité d’un instant d’avoir oublié de fermer une porte correctement. Bien qu’il ait fini les cours et que son corps réclamait le repos dont il avait été privé, il avait une dernière chose à faire. Rompre avec sa copine du moment. Car même si cela pouvait être que de simples allégations de la part d’une bouche perfide, il avait en horreur de se faire traiter de cocu. Son honneur d’homme en était blessé.
La jeune femme en question sortit de son dernier cours une heure plus tard, et elle eut la surprise de voir Auxence l’attendre devant sa salle. Elle eut un sourire s’affichant sur son visage trop parfait, sans doute déjà retouché malgré ses jeunes années. Mais ce sourire que le jeune homme sentait factice disparut peu à peu sous le coup des accusations d’Auxence. Lentement et sûrement, il l’humilia devant tout le monde, lavant sa fierté mal placée. L’esprit plus léger que la veille, il rentra chez lui, dans son lit qui l’appelait d’une douce voix, lui rappelant celle de sa mère.
Une semaine s’écoula sans qu’Auxence n’entende, ni ne voit Idriss. Il se sentait respirer, presque revivre, et ce n’était pas la visite de Daegan au cours de la semaine qui avait entamé sa bonne humeur. Ca l’avait même améliorée. Son équipier avait été chargé par Idriss, dont il apprit qu’il était un bon ami, de récupérer un dossier qu’il avait pour Idriss. Il lui donna en lui demandant, mine de rien, ce qu’il était advenu de sa bête noire. Et ce qu’il apprit acheva de le mettre dans une bonne humeur folle qui se prolongea toute la semaine. Suite à leur petite rencontre sportive plutôt tardive, le lendemain, Idriss s’était retrouvé avec une forte fièvre et des ganglions énormes au fond de la gorge. Il avait attrapé une angine rouge, une forte qui le cloua au lit pour une bonne semaine.
Cette chape de plomb qu’il avait un bref moment retrouva sa place quand il entraperçut une silhouette d’apparence musclée et aux cheveux bruns ourlés de bleu presque cobalt. Comme un gamin, il se cacha de lui, changeant de chemin ou de couloir au cœur du lycée, ne voulant pas reprendre ce chantage qui le minait plus qu’il ne voulait se l’avouer. Il tenait à ses bourses qui pouvaient lui permettre de faire ce qu’il voulait, et d’aller aux meilleurs endroits pour parfaire son éducation et sa culture. Ainsi, il réaliserait la promesse qu’il avait faite à sa mère, sur son lit de mort, alors qu’il n’était qu’un petit enfant de six ans.
Il se passa quatre jours avant qu’Idriss ne donne signe de vie par un texto simple, mais au combien cassant, lui demandant de le rejoindre de l’autre côté du complexe scolaire. Il l’avait reçu juste au moment où la sonnerie se décida à appeler les élèves vers leurs heures de cours et d’ennui, celui-ci ne souffrait d’aucune attente. Après avoir dit à Ephram de lui prendre les cours, il sortit de la queue de sa classe pour prendre la direction du rendez-vous. Sans savoir pourquoi, il avait le pressentiment de quelque chose de foireux, mais il ne voulait pas qu’Idriss trouve un prétexte pour le dénoncer. Il mit dix bonnes minutes à atteindre cette partie de son lycée qu’il connaissait peu. Elle était surtout utilisée par les élèves d’arts plastiques et dramatiques, dont il ne faisait en aucun cas parti.
Quand il trouva l’endroit de rendez-vous, Idriss n’était pas là. Auxence sentit un relent de colère monter en lui, et son téléphone portable dans son poing droit commençait à en faire les frais. Trois minutes plus tard, un grand salut se fit entendre. Idriss arrivait les mains dans les poches de son baggy, un grand sourire imprimé sur ses lèvres.
- Désolé, j’ai eu du mal à trouver l’endroit, fut tout ce qu’il trouva à dire à Auxence, qui contenait avec mal sa rage.
- Qu’est-ce que tu veux ?
- Et bonjour, ça t’arracherait la langue de le dire.
Idriss avait retourné les propres mots d’Auxence contre lui, qui essayait de se calmer.
- Salut, laissa-t-il filtrer entre ses dents. Qu’est-ce que tu veux ?
- Moi ?
- Oui. Toi.
- Je veux rien. Juste voir comment tu allais.
- Tu m’as fait faire péter mon heure de cours la plus importante de la semaine juste pour ça ?
- Oui.
- Mais t’es un vrai connard.
Auxence ne contrôla plus la rage et la colère qui bouillonnaient en lui. Il abattit son poing dans le visage d’Idriss qui ne l’avait pas vu venir. Celui-ci se retrouva assis sur le bitume. Une surprise totale se lisait sur son visage tandis qu’il massait sa joue endolorie.
- Ne joues pas trop au con non plus, Idriss. Evite de trop t’amuser avec mes nerfs pour ce chantage à la con, sinon la prochaine fois, je répondrai plus de moi.
Sur ces mots, il partit d’un pas furibond vers son heure de cours manquée. Passée la surprise, Idriss eut un grand sourire, content de voir que son jouet n’était pas aussi passif que ça et qu’il avait un minimum de caractère. Mais il allait payer pour ça.
La vengeance du jeune homme ne tarda pas à venir, puisque le lendemain soir, Idriss attendait Auxence à la sortie de son entraînement hebdomadaire de basket. Il avait eu les heures grâce à Daegan qu’il avait bassiné en faisant valoir son rôle de chef de bande.
Un à un ou en groupe de deux, tous les joueurs sortirent, et Idriss eut la satisfaction de voir qu’Auxence fut le dernier, suivi du coach de l’équipe. Il interpella son jouet du moment avec une voix doucereuse qui fit retourner Auxence d’un bond. Il ne s’était pas attendu à le voir de si tôt après leur altercation de la veille. Il était toujours habillé avec son baggy kaki mais portait un long blouson noir sur un pull fin de la même couleur. Auxence le regarda des pieds à la tête, et ses yeux s’arrêtèrent sur une légère ombre d’ecchymose rougeâtre sur la joue qu’il avait frappée la vieille.
- Un problème, Auxence ? Demanda le coach.
- Non, non.
- Tu viens ?
- Non, allez-y. j’ai quelque chose à régler.
- Ok. A samedi.
- Oui. Bonsoir coach.
Auxence retourna sur ses pas pour se planter devant la personne qui avait l’art et la manière de le faire sortir de ses gonds. Pendant quelques instants, un silence lourd et pensant prit place entre eux. Le calme avant l’orage.
- Qu’est-ce que tu veux, Idriss ?
- Des excuses.
- Jamais.
- Ton avenir ne t’intéresse donc pas ?
- Si.
- Alors ces excuses ?
- Jamais.
- Alors on va à l’administration, tous les deux. Bras dessus, bras dessous.
- Je ferai ce que tu veux jusqu’à une certaine limite, mais jamais des excuses envers toi franchiront mes lèvres.
- Ce que je veux…
Un large sourire apparut sur ses lèvres d’Idriss et s’étira de plus en plus. Auxence eut un léger mouvement de recul, sentant la vacherie venir. Pourquoi n’avait-il pas voulu dire ces maudits mots ?
Parce que sa fierté lui interdisait ça, et qu’Idriss ne l’aurait pas à l’usure.
- Suis-moi, dit le jeune homme en lui passant devant.
- Quoi ?
- Bouge ton cul et suis-moi.
Tant bien que mal, chargé de son gros sac de sport qui battait derrière lui, Auxence rattrapa avec peine son maître-chanteur qui marchait d’un bon pas, même d’un très bon pas. Presque aussi sautillant qu’un enfant venant de recevoir le jouet de ses rêves à son anniversaire. Après une bonne demi-heure de marche à travers les rues de la ville qui commençaient à se décorer de guirlandes éclectiques de couleurs, en prévision des fêtes de fin d’année, ils s’arrêtèrent devant une grande librairie. Les grandes vitrines étaient à l’image des dernières nouveautés littéraires et des best-sellers caracolant en haut des listes des plus fameuses revues. Le tout était posé sur des épaisses tentures de velours rouge, pour les yeux curieux des passants et les pousser à faire une halte dans la libraire. Bien qu’Auxence suive un cursus scientifique, il vouait aux livres et à la littérature un profond amour, et ces vitrines bien mises en valeur étaient comme une friandise pour ses yeux.
Mais une poigne forte sur une de ses épaules le rappela à l’ordre, il devait obéir à une nouvelle lubie d’Idriss. Celui-ci le fit entrer dans la librairie, dans laquelle Auxence admira la hauteur sous plafond du bâtiment ancien et l’imposant escalier qui menait aux étages tout aussi empli de livres que le rez de chaussée. Mais Idriss avait une idée bien précise de ce qu’il voulait, et il amena son jouet vers la section des revues de presse. Tout y était. Ils se plantèrent devant cet immense choix.
- On fait quoi, là ? Demanda Auxence qui ne voyait pas ce qu’Idriss voulait.
- Je veux que tu prennes une revue et que tu l’achètes.
- Oui et ? Je ne vois pas l’intérêt. Je vais le faire, dit-il en prenant une vulgaire revue financière.
- Non. Pas ça.
Auxence reposa son bout de papier dans le grand présentoir avec un sourcil haussé, comprenant de moins en moins la démarche du jeune homme qu’il accompagnait.
- Je veux que tu prennes celle-là, lança Idriss, en désignant du bout de l’index une revue dont seul le titre était visible. Et que tu ailles en caisse l’acheter.
- Très bien, fit Auxence en prenant l’objet désigné.
Il blanchit légèrement en voyant le titre et la couverture, avec des hommes plutôt dénudés. Un magazine gay. Idriss envoya un grand sourire qui montra toutes ses dents à Auxence, content de voir un instant son visage déconfît. Il était heureux de le voir se prendre la honte de sa vie. Mais le jeune homme ne se démonta pas, il ne lui ferait pas ce plaisir.
La tête haute, bien que légèrement énervé, il prit le bout de papier à pleines mains et se dirigea vers les caisses, talonné de très près par Idriss qui ne voulait pas en rater une miette. Ils durent faire la queue, car beaucoup de personnes commençaient à faire leurs achats pour les fêtes avec un bon mois d’avance, pour éviter les courses de dernière minute. Auxence posa la revue sur le tapis roulant, le plus simplement du monde. La caissière lui fit un grand sourire pendant qu’elle passait le code barre sur le lecteur.
- Ca fait plaisir à voir, dit-elle d’une jolie voix claire.
- De quoi ? Demanda Idriss, un peu déçu.
- Ca fait plaisir de voir un couple qui s’assume. C’est si rare. En plus, vous formez un couple trop mignon. Quelle perte pour la gente féminine.
La jeune caissière laissa échapper un profond soupir de déception, avant de dire le montant à Auxence qui ouvrit son porte-monnaie pour payer la somme due.
- Vous faites erreur mademoiselle, dit un Auxence un peu énervé par ce qu’Idriss l’obligeait à faire et à entendre. Je ne suis pas en couple, et encore moins avec un con pareil. Il faudrait déjà arriver à le supporter.
La remarque était acide et bien placée de la part du jeune homme. Tant et si bien qu’Idriss sentit ses joues chauffer comme s’il rougissait, chose qui, pour lui, était impossible. Il ne répondit pas à Auxence, se contentant de suivre le mouvement.
Tous les deux sortirent de la libraire et firent quelques pas pour arriver à une petite place. De l’eau coulait d’une fontaine de bronze, adossée à une façade ancienne d’un immeuble particulier. Auxence se retourna et plaqua la revue sur le torse d’Idriss, qui la rattrapa d’une main pour éviter qu’elle aille par terre.
- J’espère que tu es content de toi. Si tu ne vois pas d’objection, il y a des personnes qui aimeraient rentrer chez elles pour aller se reposer, parce qu’elles ont travaillé en cours et eu un long entraînement.
Idriss ne trouva rien à dire. Son silence
répondit au jeune homme qui partit, laissant son maître-chanteur seul avec des pensées troublantes. Il roula le magazine entre ses mains pour le fourrer dans la large besace noire qui lui servait
de sac de cours. Il faisait ça comme pour chasser ce sentiment de contentement qui était monté en lui lorsque la jeune caissière leur avait dit qu’ils formaient un mignon petit couple. C’est dans
cet état d’esprit un peu perdu et agité qu’il regagna sa villa et son lit, dans l’espoir que la nuit balaye ses troubles.
Désolé pour ce petit retard. On se rattrape en vous offrant un chapitre plus long que d'habitude. On espère qu'il vous a plu. La première partie a été longue et ennuyeuse à rédiger, mais la seconde ne fut qu'une partie de plaisir. Désolé Fid de t'avoir privé de ton plaisir au petit déjeuner du jeudi XD. Et non, Toto, tu ne nous battras jamais, là il est 3h45^^. Bisous à toutes et à très vite.
Mai 2025 | ||||||||||
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On est contente de voir qu'Auxence à une nouvelle fan ^^.
Ca va être dur de nous battre, on n'a pas battre notre propre reccord^^
gros bisous
C'est deux caractères forts et ils n'ont pas finis de se pourrir^^.
On dit rien sur la suite. ca sera à lire au prochain chapitre ^^
Gros bisous
On dit rien.
La suite arrivera dans la semaine mais on sait pas quel jour^^.
gros bisous fid
Je ne sais pas si c'est normal que ton administration soit en maintenance, mais ce ne le fait pas qu'à toi, alors patiente, et ca redeviendra peut etre comme avant.
Pour savoir si un rapprochement va avoir lieu, il faudra lire la suite....
On dit rien...
C'est pas grave Meryl. L'important c'est que tu aies passé un bon moment en lisant cette histoire.
Et oui, Idriss s'interroge mais ne perd pas son sale caractère^^. Et ne t'inquète pas pour l'horizontale ou autre, on a une idée très précise ^^ ( perverses? jamais...)
gros bisous